Die Genossenschaft Elektra Jegenstorf, die über 40’400 Einwohner in den Kantonen Bern und Solothurn mit Stromprodukten und Energiedienstleistungen versorgt, stellt ab sofort einen Tesla zum Mieten im Bahnhofparking Bern zur Verfügung. Weiterlesen
2018 haben die Firma Eurofins und das Eidgenössische Starkstrominspektorat (ESTI) im Auftrag des Bundesamts für Energie (BFE) erneut jährliche Marktkontrollen von Energieetiketten und Mindestanforderungen bei Elektrogeräten durchgeführt. 86 Prozent der über 800 geprüften Geräte, und damit drei Prozent mehr als im Vorjahr, waren korrekt mit der Energieetikette deklariert. Weiterhin tief sind die Werte im Bereich Onlinehandel und Werbung, wo nur 64 Prozent der Geräte korrekt angeschrieben waren. Dies betrifft vor allem Leuchten, Kaffeemaschinen und Kühlgeräte, wie der heute erschienene Jahresbericht 2018 zeigt. Weiterlesen
Begonnen hat alles vor rund 32 Jahren in der Sektion Energiesparen im Bundesamt für Energie, wo ich 1988 die erste Energiesparkampagne mit dem legendären Eierkochen von Bundesrat Adolf Ogi begleiten konnte. Im Jahr 1990 folgte dann der Energienutzungsbeschluss, in dem bereits ein Bedarfsnachweis für ortsfeste elektrische Widerstandsheizungen und die Pflicht zur verbrauchsabhängigen Heizkostenabrechnung in bestehenden Gebäuden enthalten waren. Leider hat man diese Massnahmen im Energiegesetz 1998 wieder rausgekippt. So habe ich die Energiepolitik oft erlebt: Zwei Schritte vor, einer zurück. Weiterlesen
Die Klimadebatte ist dank der 16-jährigen Klimaaktivistin Greta Thunberg auf die politische Bühne getreten. Immer mehr Städte und Kantone rufen den Klimanotstand aus und selbst die FDP liebäugelt mit Verboten, um das Klima zu retten. Bis ein wirklich wirksames Regelwerk zum Klimaschutz steht, scheint es noch ein langer Weg. Schweizer Unternehmen tun jedoch gut daran, früh selber klimaverträgliche Lösungen zu implementieren. So können sie nicht nur der Politik vorgreifen und aktiv zum Klimaschutz beitragen, sondern im Idealfall zeitgleich ihre Wirtschaftlichkeit verbessern. Es stehen entscheidende Fragen im Raum: Wie kann ein Unternehmen etwa effizienter mit seinen energetischen und ökologischen Ressourcen umgehen? Wo lässt sich eine Kreislaufwirtschaft implementieren? Weiterlesen
Der Sachplan geologische Tiefenlager ist für viele Aussenstehende kompliziert und unübersichtlich. Das kommt nicht von ungefähr, denn das Standortauswahlverfahren ist komplex und wird bis zum eigentlichen Baubeginn des Tiefenlagers zur Lagerung radioaktiver Abfälle mehr als 20 Jahre in Anspruch genommen haben. Weiterlesen
Die Schweiz vertritt ihre Interessen gegenüber der EU nicht nur von Bern aus, sondern auch direkt in Brüssel mit dem Team der Mission der Schweiz bei der EU. In den vergangenen zwei Jahren durfte ich als Teil dieses Teams die energiepolitischen Entwicklungen hautnah miterleben. In diesen Tagen endet meine Zeit als Energiespezialist in Brüssel. Weiterlesen
Bien que le photovoltaïque intégré au bâtiment ne soit pas une nouveauté, l’architecture solaire se développe et les applications se démultiplient. Mais il manque encore une culture de l’architecture solaire active. Weiterlesen
Gesamtenergiestatistik 2018: Die energetische Identitätskarte der Schweiz
Heute ist die vollständige Gesamtenergiestatistik 2018 erschienen. Über die wichtigsten Resultate hatte das Bundesamt für Energie BFE bereits am 20. Juni 2019 informiert. Nun liegen sämtliche Zahlen und Zeitreihen zur Energieversorgung der Schweiz vor. Die Gesamtenergiestatistik kann als eigentliche energetische Identitätskarte der Schweiz bezeichnet werden. Es lohnt sich, sich darin zu vertiefen. Weiterlesen
Solarpotenzial von Schweizer Gemeinden wird durch Open Government Data sichtbar
Das Bundesamt für Energie publiziert über 60 Datensätze als sogenannte offene Behördendaten (Open Government Data OGD). Diese Datensätze stehen der Bevölkerung zur freien Nutzung zur Verfügung. Dass die Bundesverwaltung einen grossen Schatz an frei verfügbar Daten bereitstellt, ist für viele nichts Neues. Was mit den Daten angestellt werden kann aber schon. Weiterlesen
«Le thème de la récupération de la chaleur des sols avait été abordé dans le numéro 5/14 (page 12) du magazine energeia. Le professeur Lyesse Laloui présentait alors son programme de recherche. Cet article de l’EPFL présente l’évolution de cette technologie depuis celui paru dans energeia.»
Des chercheurs de l’EPFL sont parvenus à quantifier avec précision les échanges de chaleur dans un tunnel. En appliquant leurs calculs à la future ligne de métro M3 de Lausanne, ils ont estimé l’économie d’énergie que ferait la ville en équipant le tunnel d’un système géothermique. Il s’agirait d’une première mondiale.
Dans un tunnel abritant un train ou un métro, les échanges de chaleur sont nombreux. Lorsque le métro freine et accélère, par exemple, le tunnel connaît un pic de chaleur. Cet air chaud se mélange à l’air naturellement présent dans le tunnel et à la chaleur émanant du sol.
Le calcul de la chaleur provenant de l’air était jusqu’ici effectué de manière imprécise par les ingénieurs. Les chercheurs du Laboratoire de mécaniques des sols (LMS) de l’EPFL viennent de corriger ceci dans une étude parue dans la revue Applied Thermal Engineering. Les ingénieurs sont en effet parvenus à donner une estimation précise de ce coefficient-clé, appelé le coefficient de convection thermique.
Cette découverte ouvre la voie à l’exploitation d’un tunnel géothermique au bénéfice des bâtiments situés en surface. Les chercheurs ont d’ailleurs testé leurs calculs sur le cas du tunnel du futur métro lausannois, le M3, amené à relier la gare centrale au nord de la ville (quartier de la Blécherette).
Alimentation de 1500 appartements
«Nos recherches montrent qu’en utilisant 50 à 60% du tracé planifié, 60’000 m2 du tunnel pourraient être activés avec ce système géothermique et alimenter en chaleur 1500 appartements standards d’une taille moyenne de 80m2 et 4000 appartements Minergie», explique Margaux Peltier, assistante scientifique au LMS dont le projet de Master est à l’origine de la publication. Ce système a l’avantage de pouvoir stocker de la chaleur et la diffuser en temps voulu dans les logements. «La ville éviterait l’émission de 2 millions de tonnes de CO2 par an, comparé à un système de chauffage au gaz», ajoute la chercheuse dont le calcul n’a pas tenu compte des gares du métro ni du dépôt des rames, prévu au nord de la ville, qui pourraient aussi bénéficier de cette énergie.
Dans les infrastructures souterraines, la température de l’air tend à retrouver sa stabilité et à rejetter en surface la chaleur et la fraîcheur excédentaires. Ce rejet se traduit par des mouvements d’air chaud que l’on ressent parfois en passant près d’une bouche de métro. C’est ce phénomène physique que comptent exploiter les ingénieurs, en complément de la chaleur naturellement présente dans le terrain.
Concrètement, les chercheurs proposent d’introduire des tubes de plastique dans la structure en béton du tunnel du métro à intervalles réguliers et de les relier à une pompe à chaleur. Un fluide calorifique ou, tout simplement, de l’eau, serait ensuite introduit dans les tubes, à l’image d’un frigo. En introduisant de l’eau froide dans les tubes du tunnel durant l’hiver, c’est de l’eau chaude que le système rejettera en surface, et inversément durant l’été. L’équipement géothermique du tunnel présenterait un investissement et une énergie grise négligeables, précisent les chercheurs, pour une durée de vie allant de 50 à 100 ans. Seules les pompes à chaleur devraient être remplacées toutes les 25 ans.
Chauffage et climatisation
Une fois équipé, le tunnel aurait l’avantage de chauffer les appartements alentours en hiver, en assurant jusqu’à 80% des besoins énergétiques. Les besoins restants seraient complétés, idéalement, par une autre énergie renouvelable. En été, et c’est là la singularité de ces géostructures, les appartements pourraient aussi être refroidis par le système géothermique: «Le tunnel offrirait un système de chauffage et de climatisation très fiable toute l’année», indique Margaux Peltier, qui souligne que le cas lausannois offre un grand potentiel de climatisation. Le système pourrait notamment servir à refroidir la patinoire prévue dans le futur écoquartier «Métamorphose».
«Cette publication montre que la technologie des tunnels énergétiques est mature et que nous pourrions l’exploiter au niveau d’un quartier», précise Lyesse Laloui, directeur du LMS. «Reste à savoir si l’industrie suisse est prête à jouer le rôle de pionnière en la matière car seuls des tronçons-tests ont été exploités à ce jour dans le monde.» A noter que les chercheurs ont présenté les résultats de leur étude aux Services industriels de Lausanne, aux Transports Lausannois (TL), au Canton de Vaud, le maître d’œuvre du futur métro, et à la Ville de Lausanne.
Sandrine Perroud, Mediacom EPFL
L’article a été publié dans les actualités de l’EPFL en juin 2019
Image: EPFL
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