La prise en charge de la conduite par l’intelligence artificielle est en augmentation, pour arriver à l’avenir à des voitures sans conducteurs. Un défi important qui s’annonce pour le domaine de la mobilité.
Toujours plus de constructeurs automobiles et des nouveaux venus dans la branche se sont lancés dans l’élaboration de voitures sans conducteur. En mai 2014 l’entreprise Google a présenté sa première voiture qui roule sans conducteur.
En Suisse aussi une première s’annonce
CarPostal teste actuellement à Sion un service de navettes entièrement automatisé. L’entreprise cherche ainsi des solutions pour adapter son offre à la mobilité de demain. Dans une première phase, les deux bus électriques sont utilisés dans des essais sur un site privé et fermé. A la fin de cette période de test, les autorités compétentes devront se prononcer pour une utilisation sur la voie publique. Une procédure exigeante, car elle touchera plusieurs lois et ordonnances.
Retrouvez la suite de cet article dans notre magazine ENERGEIA, No 2/2016. (luf)
C’est génial, comme ça on pourra réduire le nombre moyen de passager par voiture en dessous de 1. Zalando & Co. se rejouissent de cette perspective de distribution de colis sans chauffeur. A long terme ce sera moins cher et plus près du client que la poste. Et si je ne trouve pas de place parc, je peux me déposer devant le magasin et laisser circuler ma voiture dans le quartier pendant que je fasse les courses, tout en économisant les frais du parking…:-/…
Les voitures trop intélligentes, ce n’est pas intélligent comme système de transport. Pour l’efficacité énergétique, il serait mieux de construire des voitures qui obligent la présence d’au moins deux personnes pour pouvoir circuler, au lieu des voitures sans chauffeur…